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Avocat

PRÉVENTION
ET
MICROBIOTE

S'assurer un avenir

Le mieux pour ne pas tomber malade, c’est de le prévenir. Partant de ce principe, des mesures de prévention et d’optimisation de l’état de santé doivent être mise en place.


Elles passent par une prise en charge spécialisée et un bilan global afin d’apporter des changements simples mais efficaces sur le long terme. Un des axes majeurs étant celui de l’impact du microbiote à travers l’axe intestin-cerveau.

Face à cette problématique, l'équipe d'Éléa Santé est là pour vous guider sur la voie d'une santé préservée.

Les patients, tout comme les médecins, sont devant des nouveaux défis médicaux avec des pathologies de plus en plus atypiques et ne répondant plus de façon aussi satisfaisante aux traitements habituellement recommandés. De ce constat est né le terme de maladies de civilisation, c’est-à-dire des pathologies en relation directe avec notre mode de vie.

Ces troubles sont fréquemment des affections chroniques, qui évoluent lentement avec des impacts de plus en plus invalidants. Ils sont souvent à l’origine d’un coût important de santé et d’un décrochage social.

S’ajoute à cela une sensibilisation de plus en plus importante aux effets secondaires dûs aux traitements.

Devant ces nouveaux questionnements, il est apparu, ces dernières années et de façon croissante, que la prévention avait été négligée, tout particulièrement en santé mentale.  Dans cette prévention, la sphère digestive avec son microbiote et la nutrition ont un rôle majeur.

De ce contexte est née la psycho-nutrition.

De plus, les avancées scientifiques en physiopathologie ont permis de mieux appréhender le lien bidirectionnel qui unit la sphère digestive à la stabilité psychique. Ce qui a amené des scientifiques à parler « d’intestin, deuxième cerveau ». Notion qui depuis a été largement vulgarisée et reprise grandement par le grand public qui souhaite de plus en plus bénéficier des thérapeutiques en lien, bien que certaines demandent un effort financier conséquent.

Dans cette nouvelle façon de penser la médecine, l’impact de l’inflammation est majeur. L’ensemble des troubles ayant une composante inflammatoire qu’elle soit caractérisée ou dite micro-inflammatoire, comme les phénomènes dépressifs, les syndromes de fatigue chronique, le syndrome de l’intestin irritable ou encore la fibromyalgie, peuvent donc présenter une réponse positive à une prise en charge psycho-nutritionnelle.

En résumé, agir sur la santé de la sphère digestive aura pour conséquence d’aider au rétablissement des troubles psychiques. Mais l’inverse est également vrai. Une alimentation de qualité et équilibrée est vue, depuis l’antiquité, comme la base d’une bonne santé. Hippocrate,père de la médecine, considérait déjà la nourriture comme un médicament. Les avancées scientifiques de ces dernières années ont confirmé ce point de vue. D’où le développement de la psycho-nutrition et de ses nombreux champs d’actions.

La psycho-nutrition, spécialité d’expertise, repose sur l’expérience pluridisciplinaire de nombreux intervenants. Elle apparaît aujourd’hui comme un élément central à prendre en compte dans l’ensemble des pathologies rencontrées mais également dans leur prévention.

L'intestin influence notre humeur

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